Actualités de la Communauté

Innovation israelienne : le pacemaker biologique

jeudi 13 décembre 2012, 13:27

maginez qu'une simple injection de tissu cardiaque puisse réparer un coeur déficient. C'est ce qu'indique les résultats certes préliminaires, mais prometteurs d'une recherche dirigée par les Dr. Oren Caspi et Lior Gesptein de la faculté de médecine du Technion et qui a donné lieu à une publication dans le journal Cellular and Molecular Life Sciences1.

Ces scientifiques ont développé du tissu musculaire cardiaque sain et fonctionnel en reprogrammant des cellules souches issues des cellules de la peau. Ils ont constaté que ces nouvelles cellules cardiaques ont la capacité de "réinitialiser" le rythme de tout le tissu cardiaque malsain qui est situé autour et agissent donc comme un "pacemaker biologique".

Ces cellules se comportent comme des cellules cardiaques jeunes et saines, telles qu'on les observe chez les nouveau-nés.

Les patients souffrant de problèmes cardiaques pourraient donc être traités par une injection de nouvelles cellules cardiaques issues de leur propres cellules souches.

Le pacemaker est un dispositif bien connu permettant de réguler le rythme cardiaque mais il est évident que l'insertion d'un boîtier électronique prêt du coeur n'est pas bénigne et certaines complications infectieuses peuvent se produire. Une injection de ses propres cellules apparaît comme une solution bien moins invasive. Pour l'instant, ce traitement n'a été testé que sur des cochons.

Cette percée a été rendu possible grâce aux précédents travaux du Dr. Caspi et de son collègue le Professeur Lior Gepstein qui en mai 2012 ont réussi a générer des cellules cardiaques en reprogrammant des cellules souches2.

Ils ont obtenu, à partir de la peau d'un individu, des cellules souches pluripotentes induites qui ont le potentiel de se transformer en n'importe quelle cellule du corps humain. En altérant les conditions de leur développement, il leur a été possible de générer des cellules cardiaques.

Le Dr Caspi tempère tout de même les grands espoirs soulevés par cette étude: "La technologie est totalement nouvelle et de nombreuses analyses sont nécessaires avant l'émergence d'un traitement". Ces travaux sont capitaux, de part l'importance des dégâts causés par les maladies cardio-vasculaires.

En France, 500.000 personnes sont atteintes de cette pathologie et la mortalité associée a l'insuffisance cardiaque augmente année après année.

Source: Bulletins-ellectroniques
jeudi 6 décembre 2012, 14:28

GARDE TA LANGUE
7 conditions pour du Lachon Hara permis
Où commence et où s'arrete le Lachon Hara ? Peut-on parler de personnes qui agissent mal dans son entourage ?
Le Lachon Hara signifie dire une chose vraie négative sur quelqu'un. Même si elle vraie c'est complètement interdit de le dire. Les seuls cas où c'est permis, et c'est même des fois une mitsva, c'est s'il y a une utilité dans le lachon hara. Il faut pour cela respecter cinq lois qui sont les suivantes : 1. il y a une utilité 2. on ne peut pas arriver à cette utilité autrement que par le lachon hara (par exemple en parlant directement à la personne) 3. on est certain que la chose que nous critiquons est vraie, peut-être qu'on me l'a dite et qu'elle n'est pas vraie 4. le dire sans aucun sentiment de haine, uniquement dans un but d'utilité 5. il n'y a aucune exagération dans ce que nous disons, la stricte vérité.
Il faudra faire attention aussi que, par le lachon hara que nous disons pour utilité, aucun dommage ne soit causé à la personne sur qui nous parlons.

LES HOMMES DE FOI
Quelqu'un est un jour venu me voir, la main dans le plâtre suite à un grave accident. Il était en très grand danger, et les médecins voulaient l'amputer de la main. En prise à une grande détresse, il est venu me demander en sanglotant : « Comment vais-je vivre sans main ? »
Un peu apaisé, il m'a demandé une bénédiction, et j'ai répliqué : « En quoi ma bénédiction peut-elle vous être utile ? »
« Vous êtes le petit-fils du tsaddik Rabbi ‘Haïm Pinto ! » s'est-il exclamé.
« Certes, mais je ne suis pas Rabbi ‘Haïm Pinto », ai-je répondu.
« Vous êtes son petit-fils, et je suis convaincu que D. me fera un miracle par son mérite », a-t-il dit simplement.
Je lui ai dit : « Si vous y croyez, le miracle se produira. »
Nous nous sommes quittés, et avant de partir il m'a dit : « J'espère que la prochaine fois que nous nous verrons, j'aurai la main en bonne santé. »
Un an plus tard alors que je donnais un cours, j'ai eu besoin d'un stylo pour noter un verset, et j'ai demandé à l'assemblée de m'en prêter un. Un homme, qui avait une grande cicatrice sur la main, est venu me donner un stylo.
Je l'ai questionné : « Qu'avez-vous à la main? », et il a évoqué un souvenir :
« J'étais venu l'année dernière vous demander une bénédiction par le mérite de votre grand-père, car on voulait m'amputer. Voici ma main, elle n'a pas été coupée finalement ! Je vous donne ce stylo en souvenir ! Je suis sûr qu'elle est toujours là uniquement grâce au mérite du tsaddik Rabbi ‘Haïm Pinto. En effet, même les médecins ne comprennent pas qu'elle ait pu guérir naturellement. »

LES CONSEILS DE LA SEMAINE : Ne prêtons pas trop d'attention aux rêves !
Comme dit le verset dans Zacharie(10,2) : «Les songes disent la fausseté»
Après un mauvais rêve, il est bon de dire trois fois « Halom tov, Halom
Chalom » (il s'agit d'un bon rêve, d'un rêve de paix).
En effet, l'accomplissement d'un rêve dépend de la manière dont il est interprété. Essayons donc toujours d'interpréter positivement les rêves de notre prochain.    Attention, ne jouons pas aux visionnaires !!
jeudi 29 novembre 2012, 15:54

GARDE TA LANGUE
L'interdiction de la médisance existe même si on ne dévoile pas quelque chose de nouveau, car l'autre le connaît aussi, il sait que voici ce qu'Untel a dit sur lui, ou a fait telle chose qui le concerne, mais la personne elle-même n'a pas encore réfléchi qu'en disant cela, l'autre lui a causé du tort, et celui qui colporte éveille en lui cette réflexion. Par exemple, si Réouven a été reconnu coupable dans un jugement, que Chimon le rencontre et lui demande ce qui s'est passé, que Réouven réponde : « On m'a condamné à telle chose », et que Chimon lui dise : « On ne t'a pas bien jugé », ou quelque chose comme cela, même ainsi cela s'appelle de la médisance, parce que par ses paroles est né quelque chose de nouveau, qui provoque de la haine dans le cœur de cette personne.

LES HOMMES DE FOI
Il y avait un enfant ne pouvait prononcer aucune parole. Toutes les tentatives de ses parents de le guérir se soldèrent par un échec. Les parents n'étaient pas encore pratiquants, mais pour obtenir la guérison de l'enfant, sa mère décida de commencer à observer la Torah et les mitsvot, de respecter la pureté familiale et ainsi de suite.
Elle arriva sur la tombe de Rabbi ‘Haïm zatsal, et dit au tsaddik : « Je suis prête à observer la Torah et les mitsvot de tout mon cœur et de toute mon âme, mais s'il-vous-plaît, intercédez pour moi devant Hachem pour qu'Il me fasse un miracle par votre mérite.»  Et effectivement, à la même époque où elle a commencé à pratiquer les lois, la parole de l'enfant lui est revenue et il s'est mis à parler comme tout le monde.
Nous voyons de là que toutes les épreuves que Hachem envoie à l'homme ont pour but de l'éveiller à une techouva totale.

LES CONSEILS DE LA SEMAINE :
La rencontre entre Yaacov et Essav, nous éclaire sur la manière d'agir et de se conduire au quotidien en exil.  Suivons la trace de Yaacov !
Dans toute situation difficile, notre premier pas doit être :
  • La prière, on demande à Hachem la paix et la sécurité dans notre environnement. Puis ayons recours :
  • aux présents somptueux pour apaiser notre entourage. Le dernier moyen à utiliser sera alors
  • de se battre pour notre vie, c'est à dire en cas de danger rechercher des moyens pour se protéger et s'abriter.
mardi 27 novembre 2012, 13:53

L'empereur Hadrien raconte ,le midrash (Tan'houma toldot 5), fit remarquer un jour à Rabbi Yéhochoua:'' Il doit être grand, l'agneau d'Israël, pour pouvoir survivre parmi 70 loups''. La réaction du maître fut: ''Grand est le berger, qui le sauve et le protège''.

Gog ou magog

Kipat Barzel

mercredi 21 novembre 2012, 16:49

Lorsqu'on les additionnent les 10 numéros de Téhilim du Tikoun Haklali qui signifie réparation générale, le n° 16 + 32 + 41 + 42 + 59 + 77 + 90 + 105 + 137 + 150 on trouvera 749!!!
C'est exactement la même Guématéria que le mot Kipat Barzel (???? ????) une kippa en fer ou Le Dôme de fer comme il l'apelle!!! une kippa en fer qui grâce a D... protège Israël des roquettes et missiles envoyés de toutes parts.
La guémateria de Kipat (???? Dôme) c'est 510 et celle de Barzel (???? de fer) c'est 239
510 + 239 = 749. Bizard non!! lol!!
Na Nah Nahma Nahman Meouman!!!

Erreurs de l'I.R.M

jeudi 15 novembre 2012, 16:54

La permission octroyée aux médecins de soigner des malades est limitée par l'ordre de la Torah : « Guérir, il guérira », de là nous savons que la permission de guérir est donnée au médecin. Il a la permission de guérir, mais pas celle de pousser au désespoir ni de fixer de sombres prévisions.
Souvent, lorsque les médecins pensent être au bout de leurs capacités, la force de la prière se révèle dans toute son acuité. Une prière collective faite pour le rétablissement d'un malade accélère la venue d'extraordinaires délivrances.
Ceci est parfaitement illustré par l'histoire suivante (extraite du livre « ‘Alénou Léchabéa'h ») : Comme il arrive souvent, tout a commencé par d'intenses maux de tête. Une petite fille de huit ans se plaignait de maux de tête et de troubles très pénibles. Ses parents ont alors tenté de calmer ses douleurs en lui administrant du paracétamol, mais voyant que les médicaments ordinaires ne la soulageaient pas, ils se sont rendus avec leur fille à l'hôpital « Tel Hachomer ». Après des examens éprouvants, on a diagnostiqué une inflammation inquiétante au niveau du cerveau « …probablement une ‘méningite' ».
La petite fille a pris les traitements qui lui ont été prescrits, mais son état ne s'améliorait pas. Puis, on a découvert que le cerveau lui-même était atteint. Plusieurs hypothèses ont été émises, plus inquiétantes les unes que les autres, mais les médecins n'étaient pas capables de trancher…. jusqu'au jour où ils ont déclaré ne pouvoir fournir aucune explication médicale logique à ce phénomène.
L'I.R.M réalisé a éliminé toutes les affections, ne laissant imaginer que l'hypothèse de la présence d'une tumeur maligne au cerveau, que D. nous en préserve. Ceci nécessitait évidemment une opération urgente, au cours de laquelle on examinerait une partie du cerveau de la petite fille.
Il va sans dire que les descriptions que faisaient les médecins de ce qui se passerait après l'opération n'étaient pas rassurantes.
L'intervention a été fixée pour deux semaines plus tard. Pendant ce temps, les parents ont entrepris une « campagne », en demandant à leurs amis un effort particulier dans la récitation des bénédictions comme « acher yatsar » etc. Ils ont contacté des centaines de familles orthodoxes à travers le pays, ont transmis le nom de leur fille et ont demandé de prononcer cette bénédiction avec une application particulière et à haute voix.
L'écho en retour de cette « campagne » a été immense. De nombreuses familles ont téléphoné aux parents de l'enfant en les remerciant sincèrement pour le bénéfice que la résolution de prononcer la bénédiction à voix haute leur avait procuré. Ils ont chaleureusement souhaité que suite à cela, la petite fille guérisse et soit libérée de tous ses maux.
C'est l'occasion ici pour moi de mentionner le caractère unique et la grande sainteté du peuple juif, qui accepte de réaliser la mitsva de « Tu aimeras ton prochain comme toi-même », et de partager le fardeau d'autrui avec affection et amitié, partout, comme s'il s'agissait de sa propre souffrance. Heureux êtes-vous, Israël.
Même des juifs peu pratiquants, amis du père de famille, ont cherché à s'engager dans une mitsva pour la guérison de l'enfant. Mais comme la bénédiction « acher yatsar » ne leur était pas familière, le papa de la petite fille leur a plutôt demandé de réciter le psaume 20 : « Au chef des chantres… Que Hachem t'exauce au jour de détresse. » Ces amis ne savaient pas exactement en quoi cela aiderait, mais dans ces moments-là, chacun est prêt à faire son possible pour la guérison d'un enfant. Ils se sont donc engagés à réciter ce psaume chaque jour, et ceci jusqu'à entendre de bonnes nouvelles.
24 heures avant l'opération, la petite a subi un nouvel I.R.M, puis l'équipe médicale a immédiatement commencé à préparer l'opération (prise de sang etc.). Ils étaient toutefois étonnés de voir la mère de l'enfant sereine, ne perdant pas confiance même l'espace d'un instant. Elle a demandé aux médecins d'interrompre tous les préparatifs. « Avez-vous déjà reçu les résultats du dernier examen ? » a-t-elle demandé. « A quoi bon vérifier ? Que peut-il se passer en si peu de temps ? » ont rétorqué les médecins.
« Oh ! Bien des choses se sont passées depuis ! » a répliqué la mère.
Les médecins ont persisté à affirmer qu'ils n'avaient pas besoin des résultats du nouvel I.R.M pour poursuivre la préparation de l'enfant à l'opération, mais la maman ne démordait pas non plus de ses convictions. En effet, elle savait combien ils avaient reçu de bénédictions de Rabbanim et de grands de la Torah, et elle avait conscience du nombre de psaumes, de prières et de bénédictions prononcés pour la guérison de sa fille.
Ce qui s'est passé ensuite a entraîné la stupéfaction générale. Sur la demande de la mère, les médecins ont pris l'examen pour l'analyser, quand soudain, un cri violent leur a échappé. Quoi ? Comment est-ce possible ? Ils ont regardé à nouveau l'image qu'ils avaient sous les yeux : la taille de la tumeur présente dans le cerveau était passée de 100% à 25%. Il ne pouvait donc pas s'agir d'une tumeur maligne, car dans un tel cas, la situation ne s'améliore jamais.
Le plus surpris de tous était le professeur : il était ému jusqu'aux larmes. Il s'est tourné vers les parents : « J'aimerais savoir quel est le psaume qui peut sauver d'une telle maladie ! » La petite fille, qui se tenait à côté, fière de ses parents et de son D., a répondu : « Il ne s'agit pas d'un seul psaume, mais de nombreux chapitres de psaumes. » Pendant ces mêmes minutes de surprise, alors que les parents louaient et remerciaient le Créateur, le microbe inoffensif responsable de toute cette panique a été révélé.
Lorsque le père a rappelé ses proches non pratiquants qui avaient récité le psaume 20 pour leur annoncer la bonne nouvelle, il a ajouté « Prenez conscience de la grande force d'un chapitre de psaumes ! » Ils ont alors exprimé leur doute quant au lien entre les psaumes et la délivrance. Mais ces doutes se sont vite évanouis lorsque le père leur a dévoilé la question du professeur : « Quel est le psaume qui peut sauver d'une telle maladie ? »
Une puissante sanctification du nom de Hachem se trouvait à ce moment-là dans de nombreux cœurs.

Née au théâtre…

jeudi 8 novembre 2012, 14:50


Rima naquit en 1935 à Odessa en Ukraine et fut élevée avec ses quatre frères et sœurs plus jeunes qu'elle. Aussi loin que remontent ses souvenirs, elle avait remarqué que sa mère la traitait différemment, lui accordait moins d'attention et d'affection qu'à ses autres enfants : on la servait en dernier, ce qui signifiait qu'elle ne recevait que les restes ; quand on envisageait une sortie ou une visite aux grands parents, Rima était rarement choisie. Il devenait de plus en plus évident pour Rima que sa mère aimait ses frères et sœurs bien plus qu'elle. Pourtant c'était Rima qui se trouvait souvent en charge des petits, qui devait les surveiller, leur donner à manger, faire la cuisine, le ménage et la lessive. Mais pour une raison mystérieuse, quoi qu'elle fasse pour se rendre utile et même indispensable, sa mère ne l'aimait pas et cela, Rima en était certaine.
Un jour, Rima décida d'en parler à son père : «Pourquoi Maman est-elle une bonne mère pour tous ses enfants sauf pour moi ?» Mais à chaque fois qu'elle posait cette question, son père éludait la question, prétendait que, puisqu'elle était l'aînée, elle pouvait supporter plus de charge de travail… Rima comprit qu'en fait, on lui cachait un secret…
En 1977, Rima avait quarante-deux ans ; elle s'était mariée et avait deux enfants. Son père tomba gravement malade : la tuberculose. Les médecins ne pouvaient plus rien faire pour lui et le renvoyèrent chez lui. Durant les deux mois qui suivirent, il resta au lit, entouré de ses enfants qui savaient – comme lui d'ailleurs – que ses jours étaient comptés.
Un jour, alors que Rima se tenait seule près de lui, il lui demanda de fermer la porte à clé : «Je suis sur le point de mourir et je veux te confier un secret, pour que tu saches la vérité. Je veux enfin répondre à ta question que j'ai toujours éludée jusqu'à présent.
En 1943, j'ai épousé une belle jeune fille juive. Nous étions heureux. Au bout d'un an, elle est tombée enceinte. Ses parents travaillaient tous les deux au théâtre principal d'Odessa. Ces années-là étaient dangereuses pour les Juifs. Un jour, ma femme entendit qu'on rassemblait les Juifs, sans doute pour les jeter en prison ou, pire encore, les exiler en Sibérie. Ma femme était en fin de grossesse mais elle se précipita au théâtre pour avertir ses parents. Elle arriva trop tard, ses deux parents avaient été raflés. Sous l'effet du choc en entendant la terrible nouvelle, elle fut prise de contractions et accoucha d'une petite fille, dans le théâtre ! Cette adorable petite fille, c'était toi, Rima. Les responsables du théâtre m'informèrent que mon épouse avait donné naissance à une fille puis s'était enfuie pour échapper à l'avance nazie. Le bébé se trouvait là, j'étais invité à le récupérer !
Je suis allé te chercher. Mais comment pouvais-je m'occuper d'un nourrisson alors que je n'avais aucune expérience ? C'était au-delà de mes forces ; j'ai essayé de retrouver ta mère mais je ne l'ai plus jamais revue : je suppose que, comme ses parents, elle a été assassinée par les nazis. Je t'ai confiée à un orphelinat sous condition : s'il m'arrivait de me remarier, je te récupérerais. C'est ce que j'ai fait, ma seconde femme était d'accord de t'adopter et de s'occuper de toi comme si tu étais son enfant. Je pensais qu'il valait mieux ne pas te révéler la vérité, qu'elle n'était pas ta vraie mère mais l'expérience a prouvé que mon plan n'était pas le meilleur…»
Peu de temps après, le père de Rima décéda et elle resta seule avec ce terrible secret.
Dès qu'elle en eut l'occasion, elle se rendit à Odessa pour voir de ses propres yeux le théâtre où elle avait vu le jour. Elle fut stupéfaite de le trouver exactement à l'adresse que son père lui avait indiquée. Elle y trouva un banc et, submergée par l'émotion, mit son visage dans ses mains et éclata en sanglots. Elle pleurait pour cette mère qu'elle n'avait jamais connue, pour ses grands-parents qui avaient disparu, pour le vide qu'elle avait toujours ressenti et pour la vérité qu'elle avait enfin comprise.  De loin, une vieille femme l'observait, c'était la directrice du théâtre ; elle s'approcha de Rima, lui demanda si elle pouvait l'aider. Séchant ses larmes, Rima lui raconta ce qu'elle savait de sa naissance et la femme la regarda pendant un long moment. Elle prit une profonde inspiration et murmura : «C'était donc vous ! Je me trouvais là quand vos grands-parents ont été raflés et c'est moi qui ai aidé votre mère pendant l'accouchement imprévu ici, dans le théâtre. C'est moi qui me suis occupée de vous quand votre mère s'est enfuie jusqu'à ce que votre père vienne vous chercher !»
Les deux femmes s'embrassèrent. La directrice du théâtre enlaçait Rima comme elle l'avait tenue exactement quarante-deux ans plus tôt, jusqu'à ce que Rima fut capable de se remettre de ses émotions.  Trente ans avaient passé depuis. Rima savait seulement que sa mère était juive mais elle ne connaissait rien du judaïsme et n'avait évoqué son identité juive devant personne, sauf devant moi, un certain vendredi après-midi alors qu'avec mon mari, je venais de m'installer à Oulyanovsk, en tant qu'émissaire du Rabbi.  Son histoire m'avait laissée sans voix.
Finalement, je l'ai prise par la main : «Rima ! C'est l'heure d'allumer les bougies de Chabbat ! Certainement vos grands-parents seraient heureux de vous voir retrouver la tradition et le judaïsme !» C'est ainsi qu'à l'âge de soixante-seize ans, Rima alluma pour la première fois de sa vie les bougies de Chabbat…

LES CONSEILS DE LA SEMAINE : Restons jeunes, restons zen!!!

jeudi 8 novembre 2012, 14:50

Il existe chez un homme quatre causes de vieillissement :
1) la peur. Ainsi David vieillit à cause de la peur : « il était effrayé par le glaive……David était vieux » (Divrei Hayamim(21,30) (23,1))
2) les soucis causés par les enfants. Ceci est illustré par Héli : « il est devenu vieux à cause des soucis que lui donnaient ses enfants » (Chmouel 2,22)
3) une mauvaise femme. Ainsi les femmes idolâtres de Shlomo précipitèrent sa vieillesse (Melakhim 11, 4)
4) la guerre. Yéhochoua vieillit à la suite de la guerre contre les trente et un rois. (Yehochoua(12,24) (13,1))
Bien que la Tora précise qu'Avraham devint vieux, aucune de ces causes ne s'applique à lui. Au contraire, sa vieillesse fut pour lui une couronne de gloire et un honneur. (D'après Midrash Tanhouma)
 

GARDE TA LANGUE : Comment réparer le Lachon Hara ?

jeudi 8 novembre 2012, 14:50


Si une personnes a entendu de la médisance la seule manière pour la réparer est de ne pas tenir compte des informations qui lui ont été rapportées. C'est-à-dire que l'image de celui sur qui on a fait du “Lachone Hara” n'a pas été dévaluée à ses yeux. Dans ce cas, la faute commise est uniquement par rapport à D.ieu Pour se repentir il consistera (en privé) à regretter son action, déclarer sa faute et à s'engager à ne plus la répéter.
Si maintenant les paroles de médisance ont terni l'image et la réputation de la personne sur qui on a parlé. En outre, cela lui a causé un dommage physique ou financier.  A la faute vis-à-vis de D.ieu s'ajoute donc la faute vis-à-vis de son prochain. Cela nécessite donc (en dehors de la repentance vis-à-vis de D.ieu) d'aller implorer le pardon de la personne qui à été victime de la médisance. L'obligation de demander pardon persiste même si la personne ignore que l'on a médit sur elle.  En règle générale il convient de demander pardon soi-même, mais en cas de nécessite comme par exemple des problèmes de “Tsnioute” (pudeur), on peut le faire par un intermédiaire. Toutefois dans le cas ou le dommage ne s'est pas produit mais reste potentiellement possible, il est préférable, plus tôt que d'aller s'excuser, d'oeuvrer pour réparer la situation. 
Il faudra alors se rendre chez les personnes qui ont entendu le “Lachone Hara” et les informer qu'il s'agissait d'une erreur et que la réalité était autre.

LES CONSEILS DE LA SEMAINE :

jeudi 25 octobre 2012, 11:42


Renforçons notre émouna !
Marchons dans le sentier d'Avraham. Hachem ne lui révéla pas la destination de son voyage, ni sa durée. Cependant Avraham n'émit aucune plainte et remporta cette épreuve avec succès. Avraham nous a légué cette qualité essentielle de bitahon, (confiance en Hachem) Ainsi, suivons la voie de la Tora sans trop nous poser de questions ! Gardons confiance en la providence divine !
Comment changer le décret divin ?
La Tora nous prescrit 5 actions ayant ce pouvoir : la tsédaka (charité), la téfila (prière), la téchouva (amélioration du comportement), le chinouï hachem (changement de nom), ainsi que le chinouï makom (changement de résidence). Ces actions contribuent à faire annuler un décret divin, car, à travers elles, le cœur de l'homme est empli d'humilité
Attention à l'influence !
Choisissons avec précaution notre lieu de résidence.
Ainsi, Avram se sépara de Lot, lorsqu'il s'aperçut que le coeur de Lot penchait vers l'idolâtrie. Lot fut attiré par l'opulente cité de Sodome. Il espérait pouvoir y amasser de nouvelles richesses. Il ne tint pas compte de la corruption des habitants de cette cité. Il échappa de justesse à la destruction de cette ville, par le mérite d'Avraham
Ne faisons pas comme Lot, mais installons-nous dans un lieu où règnent
de vraies et belles valeurs ! Ne restons pas cantonnés dans notre univers si matérialiste !  Chabbat chalom

Hiloula de Rahel Imenou

mercredi 24 octobre 2012, 14:18

A voir !

L'age du monde du Rav ron Chaya Partie 1

jeudi 18 octobre 2012, 15:52

Comme promis, le fabuleux cours du Rav Ron Chaya, Nessia Tova. A VOIR
Suivi de la preuve irréfutable pour conclure.

L'age du monde Partie 2

L'age du monde Partie 3

L'age du monde Partie 4

La Preuve Irréfutable

jeudi 18 octobre 2012, 15:57

Que la Torah est d'origine divine par le Rav Ron chaya

LES CONSEILS DE LA SEMAINE

jeudi 18 octobre 2012, 16:20

Méfions-nous de l'excès de bien-être matériel !
Le bien-être matériel doit être maîtrisé par l'homme afin de servir à des buts spirituels. L'opulence n'est pas synonyme d'harmonie ou de bonheur. Bien au contraire, elle génère parfois la destruction et la corruption. Les gens d'avant le déluge avaient la vie trop facile ; ils ne se tournaient plus vers Hachem, et commirent alors de terribles abominations.
Gardons-nous d'un langage indélicat !
Hachem dit à Noah de prendre un couple d'animaux non purs. Hachem préféra employer l'expression « non pur » à « impur », bien que ce dernier mot soit plus concis. Prenons exemple, et exprimons-nous avec beaucoup de finesse !
Pratiquons la bonté qui est salvatrice !
Noah et ses enfants étaient constamment occupés à nourrir les animaux dans l'arche. La destruction du monde avait été provoquée par le vol. Pour bâtir un nouveau monde, il fallait cultiver la bonté. Ce hessed leur permit aussi de survivre au déluge. A notre tour et à notre niveau, aidons les autres afin d'éveiller la miséricorde divine !  Chabbat chalom

Berechit et Chalom Bait

jeudi 11 octobre 2012, 18:42

Paracha Béréchit : conseils pour obtenir un "Chalom Baït"
Dans la paracha Béréchit, la thora nous parle de la création du premier couple, celui de Adam et ‘Hava. Cet épisode nous offre l'occasion de parler de l'un des sujets les plus délicats dans la vie matrimoniale : le chalom baït (l'harmonie dans le couple).
La triste réalité montre que de nombreux couples ne s'entendent pas, et ne vivent pas dans l'entente idéale que devrait caractériser la vie matrimoniale. Essayons de voir quelques conseils qui pourraient améliorer et affermir la bonne entente au cœur du foyer. Notons que ce cours est également destiné aux célibataires, puisqu'il les aidera dans leur comportement au sein de la collectivité et permettra aussi un apprentissage des conduites générales à adopter.
Voici quelques conseils "techniques" reçus de mes maîtres, mais il faut savoir que c'est l'accomplissement des mitsvot qui constitue avant tout la base du chalom baït. Ainsi, bien que les recommandations qui suivent sont adressées à tous les foyers, si l'on veut que l'impact dure longtemps et sérieusement, il est absolument nécessaire d'avoir une maison de thora, c'est-à-dire de respecter sérieusement la thora et les mitsvot. Le manque de thora constitue la principale raison des discordes dans le couple et les recommandations qui suivent ne seront sérieusement applicables si le couple ne respecte pas la thora. 
[Le talmud rapporte qu'en Hébreu, l'homme est appelé "Ich" et la femme "Icha". Ces deux mots sont composés du mot "éch" (le feu) ainsi que de la lettre "youd" chez l'homme et de la lettre "hé" chez la femme. En plus du mot "éch" (le feu), le couple comporte les lettres "youd" et "hé" qui forme l'un des noms de D'. Ainsi, conclue le talmud, tant qu'Hachem est présent dans le foyer, tout va bien. Mais lorsque la thora n'est pas observée dans la maison, Hachem s'en va et il ne reste plus que "éch", le feu, qui consume la maison.]
Voici donc deux principes qui pourront, avec l'aide du Ciel, restaurer ou améliorer le chalom baït :
La compréhension de l'autre
L'incompréhension est à la base de nombreux problèmes. En effet, chaque personne a ses propres perceptions et pense que tout le monde vit avec les mêmes sentiments. Ainsi, il arrive qu'un sujet soit capital pour l'un des conjoints, tandis qu'il paraît banal pour l'autre. Cela mènera à une incompréhension qui risquerait d'être interprétée comme un mépris.
On peut imaginer qu'une femme soit angoissée de voir son petit enfant se tenir debout près d'un cours d'eau et que le mari n'est pas du tout inquiet de cette situation. L'épouse s'adresse donc à son mari et lui fait part de son anxiété, en attendant qu'il éloigne l'enfant du danger.
Mais voici que de son côté, le mari ne voit aucun risque et ne s'empresse pas du tout de "s'exécuter". Au contraire, il se moque presque de cette peur qu'il qualifie d'idiote… La femme interprète alors ce manque d'attention comme un mépris volontaire et on s'imagine déjà la suite de cette affaire si banale…
Si le mari avait compris que chacun réfléchit différemment, il aurait pris en considération les sentiments de son épouse et cette discorde aurait pu être évitée. Du côté de la femme aussi, elle s'est  sentie agressée, du fait qu'elle pensait que son mari comprenait la même chose qu'elle. Elle a donc pris l'indifférence de son mari comme un mépris envers elle.
Cette configuration se retrouve sous différentes formes, comme par exemple : l'un des conjoints est triste et l'autre heureux, l'un se sent en pleine forme et l'autre se sent mal etc., chacune de ces situations pouvant causer des incompréhensions et des discordes ! Il est donc indispensable de s'habituer à ne pas juger l'autre comme nous réfléchissons nous-mêmes, mais de le savoir différent. (Les sensations d'autrui ne sont pas toujours absurdes, même si elles peuvent le paraître à nos yeux. Et même lorsqu'elles sont vraiment absurdes, qui dit que nous n'avons pas nous aussi des absurdités ?)
La modestie, s'annuler devant l'autre
La modestie est l'un des principes capitaux dans notre service divin, mais elle est aussi indispensable pour faire résider l'harmonie et la joie dans un couple. En effet, la majeure partie des disputes commence par des sujets tellement banaux. Une petite discussion peut se transformer en une "grande guerre" vu qu'aucun des deux conjoints n'a voulu admettre son erreur.
Lorsque la modestie est présente dans le couple, de nombreuses querelles sont évitées. Attention, ce n'est pas juste à celui ou à celle qui a fait l'erreur d'utiliser ce remède pour préserver (ou restaurer) le chalom. Même celui qui est sûr d'avoir raison doit être prêt à s'annuler pour préserver la paix au sein du couple. Dans les Yéchivotes, on prépare le hatane (le fiancé) au mariage. On lui apprend que s'il y a eu une dispute, il faut qu'il aille offre un bouquet de fleur ou une petite attention à son épouse en acceptant qu'il a fait une erreur (même si c'est la femme qui a fait l'erreur).
Certains ne comprennent pas ce message et prétendent qu'il ne faut pas s'annuler si c'est l'autre qui est en tort. Il faut juste savoir que nous ne sommes jamais perdants d'annuler notre volonté devant les autres (et qu'il vaut sûrement mieux abandonner nos beaux principes que d'abandonner le chalom baït !).
Il existe encore de nombreux conseils et précautions à avoir dans la vie familiale, mais je n'en ai pas parlé afin de ne pas charger de trop le lecteur. En associant les prières pour mériter de l'harmonie et en accomplissant les mitsvot, le couple retrouvera béézrate Hachem l'entente tant espérée !
Prions pour que tout notre peuple vive en paix et dans la joie, amen ! Qu'Hachem nous donne la volonté de Le servir constamment et que nous puissions voir prochainement la venue du machia'h, amen !  Rav Emmanuel Mimran
jeudi 11 octobre 2012, 17:25

Question: nous sommes sensés vibrer quand on fait les Mitsvot, être fous de joie, enthousiasmes comme jamais... Mais prenons l'exemple de la prière par exemple, au fur et a mesure du temps elle devient une habitude.... Ce n'est plus comme la 1ère fois, MAIS POURQUOI ???
Réponse: quand on mange des repas, on ne s'en lasse jamais !!
On est toujours aussi contents de manger BH !! On mange même plusieurs fois par jour...
La seule différence est que la nourriture qui est ce qui nourrit notre corps, on est conscients de son importance, du fait qu'on ne peut pas vivre sans elle....
Par contre, la prière vers Le Maitre du monde, qui est la nourriture de notre âme, on ne se rend pas compte de son importance, du fait quelle est essentielle a notre survie !!!
Quand on se rend compte vraiment que la prière est la nourriture de notre âme, notre lien avec Hachem, notre prière prend une toute autre dimension !!
On l'apprécie a sa juste valeur, on est heureux a l'idée que l'on va prier, et on le fait sérieusement.... :)))
QUE PAR LE MÉRITE DES PRIERES DE CHACUN, ET DE TOUS LES TSADIKIM, QU'HACHEM GUERISSE TOUS LES MALADES D'ISRAEL

LES CONSEILS DE LA SEMAINE :

jeudi 4 octobre 2012, 16:12

Donnons la préséance à la Tora !
Nous avons parfois certains arguments, paraissant plus logiques ou plus d'actualité que la Tora elle-même. Même si notre logique parait solide, un tel raisonnement personnel peut nous éloigner de l'enseignement de la Tora.
Soumettons-nous à la règle de la Tora. Négligeons notre point de vue personnel, même si nous sommes convaincus que notre opinion est supérieure à celle de la Tora. Détrompons-nous !
Restons modestes !
On apprend cette qualité d'Hachem qui ne plaça pas Son nom comme premier mot de la Tora. En effet, les premiers mots sont : « au commencement de la création ». Bien que créateur du monde, Hachem énonça ses œuvres avant Son nom, qualité absente chez toute éminente personnalité.

Investissons dans les préparatifs de chabbat
et profitons de ce jour merveilleux
Le chabbat est un avant goût du paradis. Il est empreint de plaisirs d'ordre spirituel. Profitons-en !  Par ailleurs, les sacrifices financiers opérés pour le chabbat, nous sont rendus. De plus, celui qui honore le chabbat est récompensé par une vie agréable et l'aisance matérielle. Aussi, Hachem a béni le chabbat en donnant aux mets une saveur agréable et bien particulière.
Etudions encore plus de Tora le chabbat !
La récompense de l'étude de la Tora le chabbat est 1000 fois supérieure à celle de l'étude en semaine. A vos livres !  Et chabbat chalom

«C'est mon rouleau de la Torah !»

Henryk était très jeune en 1945 à la fin de la guerre quand les rares survivants tentaient frénétiquement de retrouver leurs proches. Il avait passé presque toute sa «vie» avec sa nourrice qui, à la demande de son père, l'avait caché. Elle avait pris des risques énormes en agissant ainsi mais elle avait accepté de bon cœur car elle aimait l'enfant. Tous les Juifs avaient été raflés et massacrés et la nourrice de Henryk n'avait pas pensé un seul instant que certains aient pu survivre, certainement pas Joseph Foxman qui avait été déporté dans le ghetto de Varsovie et de là, sans doute vers Auschwitz : chacun savait que nul Juif n'en revenait. Elle n'eut donc aucun scrupule à adopter l'enfant, à le faire baptiser et à l'envoyer au catéchisme où le prêtre local se fit un plaisir de lui enseigner «la vraie religion». Mais le jour de Sim'hat Torah, Joseph Foxman amaigri, les traits creusés, réapparut et vint chercher son fils. Le cœur brisé, la brave nourrice se résolut à emballer les vêtements de l'enfant qu'elle chérissait sans oublier de glisser dans son balluchon le petit livre de catéchisme. Elle rappela avec fierté au père survivant que l'enfant était maintenant devenu un fervent catholique et qu'il convenait donc de l'éduquer dans cette voie. Joseph Foxman la remercia avec effusion puis prit son fils par la main et l'emmena directement à la Grande Synagogue de Vilna. En route, il rappela à son fils qu'il était juif et qu'il s'appelait non pas Henryk mais Avraham. Tandis qu'ils passaient devant une église, l'enfant se signa avec respect ce qui peina beaucoup son père. Un prêtre surgit alors ; il connaissait le garçon qui se précipita et lui embrassa la main avec ferveur. Le prêtre le cajola et lui recommanda de ne jamais oublier la foi chrétienne. Intérieurement, Joseph Foxman était horrifié. Il avait tant souffert et sa seule raison de vivre dans les camps avait été la pensée qu'il retrouverait son fils ! Il aurait voulu arracher son fils des bras du prêtre, l'éloigner au plus vite de l'église mais il savait que ce n'était pas là le moyen le plus sage d'agir. Il salua le prêtre avec courtoisie mais serra un peu plus son fils contre lui. Après tout, ces personnes avaient donné l'asile à l'enfant et lui avaient sauvé la vie. Le meilleur moyen de le ramener vers le judaïsme n'était certainement pas de le brusquer et de le sermonner mais plutôt de lui montrer un judaïsme vivant et enthousiaste qui lui ferait bien vite oublier cette foi étrangère. Ils pénétrèrent dans la Grande Synagogue de Vilna qui n'était plus que l'ombre d'elle-même. Elle qui avait vibré avec une communauté nombreuse et fervente était devenue trop grande pour les quelques rescapés d'Auschwitz qui en avaient spontanément retrouvé le chemin et qui tentaient de reconstruire leur vie. Malgré la terrifiante réalité, malgré leur petit nombre et malgré leur état de santé - physique et psychique - lamentable, les Juifs chantaient et dansaient, faisant abstraction de tout pour se réjouir avec la Torah. Les yeux écarquillés de surprise, Avraham contemplait la scène, bien différente de tout ce qu'il avait vécu jusque là. Il prit un vieux livre et le toucha avec respect et affection, peut-être en lointain souvenir de ce qu'il avait vu dans sa toute petite enfance. Quelque chose au fond de lui réagissait positivement à cette atmosphère sincère ; il était heureux d'avoir retrouvé son père, même s'il ne l'avait pas reconnu. Cependant, il ne se joignit pas aux danses, se contentant de regarder et, éventuellement, de frapper des mains. Un homme qui portait l'uniforme de l'Armée Rouge Soviétique remarqua l'enfant et ne put en détacher son regard. Il s'approcha de Joseph : «C'est un enfant juif ?» demanda-t-il, incrédule. - Oui ! répondit Joseph tout en laissant échapper un soupir à l'idée que son fils avait reçu une éducation bien différente de celle qu'il avait souhaitée. Le soldat était comme fasciné ; il luttait pour retenir ses larmes, lui qui avait combattu sans états d'âme des ennemis féroces : «Durant ces quatre terribles années, finit-il par remarquer j'ai parcouru des milliers de kilomètres mais c'est le premier enfant juif que je rencontre ! Veux-tu danser avec moi ? Je te prends sur mes épaules !» proposa-t-il à l'enfant, émerveillé par l'uniforme. Le père hocha la tête en signe d'acquiescement et le soldat saisit l'enfant qu'il hissa sur ses épaules. Les larmes coulaient maintenant de ses yeux sans qu'il fasse d'effort pour les cacher ; le cœur gonflé de joie, il entra dans la danse en chantant. «Voici mon rouleau de la Torah !» s'exclama-t-il en dansant de plus belle avec l'enfant qui, très fier, avait mis le képi du soldat sur sa petite tête. Abe (Avraham) Foxman maintenant directeur de l'Anti Diffamation League aux Etats-Unis – se souvient de cet épisode comme étant son premier contact avec le judaïsme et la fierté d'être juif.

Humour

Les Conseils de la semaine

vendredi 28 septembre 2012, 09:16

Répondons « baroukh hou ouvaroukh chémo » !
Lorsque nous entendons une bérakha récitée par un tiers, répondons « baroukh hou ouvaroukh chémo », lorsque nous entendons le nom d'Hachem. Cependant on évitera de répondre« baroukh hou ouvaroukh chémo » lorsqu'on désire s'acquitter d'une bénédiction. De même nous répondrons « Baroukh Hachem hamévorakh léolam vaéd », lorsque nous entendons « baroukh ata Hachem hamévorakh »
Donnons-nous du mal !
Rien dans la Tora n'est vide de signification. Si nous n'en saisissons pas le sens, c'est parce que nous n'avons pas suffisamment peiné pour ce faire. Appliquons-y toute notre intelligence, d'autant plus que l'étude de la Tora n'est jamais sans récompense.
Méfions-nous de l'opulence !
La richesse peut conduire à l'abandon du service divin. Ainsi, plus la prospérité matérielle d'un homme est grande, et plus grand est le danger spirituel qui le guette. En effet, l'homme pourrait s'attribuer ses réussites, et donc renier l'aide d'Hachem. La richesse permet aussi de s'adonner aux plaisirs matériels, prenant le temps et l'énergie qu'on aurait pu et du consacrer à des préoccupations spirituelles.
Chabbat chalom ! Hatima tova ! et HAG SAMEAH

Voilà comment nous ferons pencher le plateau de la balance :

En cette période où notre avenir est placé sur une balance, voici un bon conseil pour la faire pencher en notre faveur. Nous l'avons puisé dans un cours du Maguid de Jérusalem, Rabbi Chalom Schwadron :
L'histoire suivante nous apprend que l'obligation de juger favorablement son prochain est de mise même lorsqu'en apparence, rien ne semble le justifier. Elle se passe pendant la première guerre mondiale, en l'an 5674, dans la ville sainte de Jérusalem. A cette époque, les turcs dominaient le pays, et les juifs de Jérusalem qui subissaient déjà cette dure domination étaient en plus frappés par une terrible famine. Misère et famine étaient perceptibles à chaque coin de rue.
L'histoire commence avec un juif de Jérusalem, un homme bien et agréable, mohel de son métier, que j'ai connu alors qu'il était déjà âgé. Il avait chez lui, au-dessus de l'armoire, un napoléon en or !
Pour donner une idée de la valeur de ce napoléon, précisons seulement qu'il permettait de nourrir une famille pendant une année entière, et dans tous les cas aisément durant six mois. Il s'agissait donc d'un véritable trésor, qui aurait eu une immense valeur même à une époque faste, à combien plus forte raison en ces jours où les habitants de la ville manquaient de pain et souffraient réellement de la faim, sans exagérer. Un jour, le fils de notre ami a remarqué la pièce posée sur l'armoire. Cet enfant âgé de sept ou huit ans ne comprenait pas grand-chose aux pièces de monnaie, il savait seulement qu'elles permettaient d'acheter ce qu'on voulait. Pour lui, il n'y avait aucune différence entre les « ‘hirelekh » (petites pièces faites de cuivre de couleur jaune) et le napoléon composé d'or pur… En effet, comment un enfant aurait-il pu distinguer un napoléon d'un ‘hirele ? Il savait simplement qu'avec la pièce on allait chez le marchand, et qu'on y achetait des sucreries ou des graines ! Sans trop réfléchir, il a attrapé la pièce puis s'est rendu au magasin où il a acheté ce qu'il a voulu…
Mais entre-temps, son père est rentré à la maison : à son grand effroi, il s'est aperçu que le napoléon avait disparu ! Il a appelé sa femme pour lui demander une explication, mais elle n'en savait pas plus. Elle ne pouvait que partager la stupeur de son époux.
Puis l'enfant, après avoir joué dans la rue, est rentré chez lui. Ses parents, effondrés, se sont précipités pour le questionner : « As-tu pris quelque chose au-dessus de l'armoire ? » L'enfant, ne saisissant pas la portée de son geste, a répondu naïvement : « Oui ! J'ai pris la pièce ! »
« Où est-elle ? » se sont-ils alors écriés, avant d'entendre leur fils dire simplement : « Je suis allé au magasin, et j'ai acheté des bonbons ! », et on voyait parfaitement qu'il disait la vérité.
Alors, la maman s'est précipitée chez l'épicier, et à peine entrée, elle s'est mise à l'invectiver : « Voleur ! Vous avez pris notre napoléon ! Un napoléon entier contre quelques bonbons que vous avez donnés à mon fils ! Vous êtes un mécréant, le pire des voleurs, c'est extrêmement grave ! Comment avez-vous osé faire une chose pareille ? » Elle s'arrachait les cheveux tout en s'époumonant : « C'était un napoléon ! C'était mon seul bien ! Mon mari m'avait procuré cet objet providentiel, un napoléon d'or ! On aurait eu de quoi se nourrir pendant un an, et maintenant tout espoir est perdu… »
Cependant, le commerçant ne comprenait pas exactement ce que cette femme voulait… Encore secoué et ébranlé, il a répliqué : « Que me voulez-vous ? Vous m'accusez à tort ! Votre fils est effectivement venu à mon magasin, il m'a certes acheté des bonbons, mais il ne m'a donné qu'un ‘hirele ! Pas un napoléon ! D'aucune manière ! Un enfant peut se tromper, il ne distingue pas forcément un ‘hirele d'un napoléon ! » Mais la femme ne s'est pas calmée, et a rétorqué : « Comment pouvez-vous prétendre qu'il ne s'agissait pas d'un napoléon ? Amenons le petit, et questionnons-le directement ! » Sans attendre de réponse à sa proposition, elle a appelé son fils et lui a demandé :
« Dis-moi, d'où as-tu pris la pièce ? » « Du dessus de l'armoire ! » a-t-il répondu. Alors la femme a poussé un cri de triomphe : « Voilà ! Vous voyez ! Il n'y avait pas de ‘hirele sur l'armoire, uniquement un napoléon ! Vous êtes un menteur et un voleur ! » Bref, la femme criait, et le commerçant se défendait. Une grande agitation s'en est suivie, et une foule de passants s'est attroupée autour du magasin alors que le pauvre marchand, hébété, était humilié de tous côtés à cause de cette femme, qui racontait désespérément son histoire à qui voulait l'entendre, avant de déclarer de manière claire et définitive : « Ce marchand a volé un napoléon à un petit enfant ! »
Finalement, ils se sont tous rendus au tribunal, où le père en personne se trouvait déjà et avait raconté le déroulement des événements. La décision du tribunal était claire et nette : le marchand devait prêter serment en déclarant ne pas avoir reçu la pièce. Ce dernier a tenté d'expliquer à nouveau que l'enfant lui avait donné uniquement un ‘hirele, et a même dit clairement que s'il ne lui restait plus d'autre choix, il prêterait serment afin de prouver son honnêteté. Mais à ce moment-là, en voyant que l'épicier était réellement prêt à jurer, le mohel a décidé de retirer sa plainte. En effet, que lui importait le serment de celui-ci ? De plus, allait-il pousser un autre juif à prêter un faux serment ? « Non, cela ne sera pas » a-t-il décidé, puis il a renoncé à sa plainte. Mais il ne l'a pas fait pour blanchir la réputation du marchand, peut-être même au contraire…
Ce commerçant a donc quitté le tribunal la tête basse, considéré par tous comme un voleur et un menteur. Son existence, ainsi que celle de sa femme et de ses enfants, se sont transformées en enfer, en un enchaînement de hontes et d'humiliations. Certaines personnes, par excès de piété, ont même interdit à leurs enfants de lui acheter quoi que ce soit. Ainsi, ce dernier a vu sa situation financière se dégrader de manière effrayante, en plus de toutes les humiliations dont il était victime !
Cette situation s'est prolongée pendant plusieurs années, jusqu'à la fin de la guerre. C'est alors que la vraie histoire a été découverte. Un jour, le mohel a reçu une lettre à laquelle était attaché un napoléon d'or. Voici ce qui y était écrit :
« Il y a quelques années, pendant la terrible guerre, je marchais dans la rue et j'y ai croisé votre fils tenant un napoléon d'or dans la main. Ma femme, mes enfants, et moi-même souffrions du manque de nourriture. J'ai donc pensé : ‘Comment un enfant peut-il se promener avec un napoléon dans les mains ? On doit certainement rouler sur l'or chez lui, alors que ma famille et moi mourons de faim… !'
Qu'ai-je donc fait ? J'ai réfléchi, et pensé : ‘Je pourrais peut-être faire un emprunt que je rendrai lorsque Hachem m'aidera à mieux gagner ma vie !' Ainsi, je me suis approché de l'enfant en lui demandant : ‘Qu'as-tu dans la main ?' Il m'a montré son napoléon, et en jouant avec lui j'ai réussi à échanger le napoléon contre un simple ‘hirele, sans qu'il s'en aperçoive ! C'est pourquoi maintenant, alors que la guerre est terminée, je vous rends ce que je vous avais emprunté à votre insu, et m'en excuse car je n'ai pas agi de gaieté de coeur ! » concluait l'auteur anonyme de la lettre.
Il s'avérait donc que le simple et intègre marchand avait raison ! Il était resté fidèle et de bonne foi, avait dit la vérité, et n'avait jamais touché à l'argent de son prochain ! Toutes les humiliations n'auraient pas dû exister, toutes les dégradations étaient complètement injustes, et la médisance ainsi que le mensonge avaient été d'une extrême gravité ! La vie du commerçant avait été détruite uniquement parce qu'il n'avait pas été jugé favorablement ! Que pouvons-nous apprendre de cette triste histoire ? Nous devons nous habituer à juger chacun avec droiture et à regarder l'autre d'un œil positif, nous mériterons ainsi que D. agisse envers nous mesure pour mesure, et qu'Il considère nos actes avec indulgence.

Le Loulav

vendredi 28 septembre 2012, 08:58

Les 4 espèces que nous utilisons à souccot représentent les quatre sortes de juifs :

LE ETROG (cedrat) : Il sent bon et il est comestible. Il représente les juifs qui étudient la Torah et qui la pratique.
LE LOULAV (branche de palmier) : Il n'a pas d'odeur, mais il est comestible. Il correspond aux juifs qui n'étudient pas la torah, mais qui font des Mitsvot.
LES HADASSIM (Myrthe) : Sentent bon, mais ne sont pas comestibles, ils représentent les juifs qui étudient mais qui ne pratique pas la Torah.
LES HARAVOT (saules) : n'ont pas d'odeur, et ne sont pas comestibles, elles représentent les juifs qui n'étudient pas et ne pratiquent pas laTorah.

Le jour de souccot, l'homme prend les 4 espèces, les unis et les élèvent vers Hachem aux 4 points cardinaux. Tous les juifs ce jours là sont égaux devant Hachem.

Roch Hachana

mercredi 12 septembre 2012, 17:58

ROCH HACHANA : le jour du jugement
Dimanche 16 au soir, Lundi 17 et Mardi 18 Septembre 2012 !
Le 1er Tichri, le jour de Roch Hachana, Hachem juge toutes les créatures individuellement. Au cours de ce jugement, l'homme est jugé sur tous ses actes, il n'y a pas d'oubli chez Le Juge suprême, tout est clairement dressé devant Lui. Puis Il ouvre trois livres : celui des justes, des impies et des gens intermédiaires. Ensuite, sont mesurées dans la balance céleste les bonnes actions face aux mauvaises. En fonction de la majorité qui l'emporte, Hachem scelle le jugement de la personne pour l'année à venir.
Hachem nous fit une bonté énorme en nous dévoilant la date du jour du jugement. En effet pour les peuples des nations, ce jour ne revêt pas de sens particulier, il est comme tous les autres jours de l'année. Cependant pour le peuple d'Israël qu'Hachem a choisi parmi les nations, Il dévoila l'importance singulière de ce jour afin que nous nous y préparions, et l'abordions dans les meilleures conditions possibles.
CHANA TOVA 5773 A TOUT LE MONDE !!!

Titre de paragraphe

lundi 10 septembre 2012, 09:21

A voir ! 7 minutes seulement...

Journée de vérification mezouzot / tefilines à creteil

mercredi 5 septembre 2012, 13:38

Plus de détails en cliquant sur le lien :

http://www.hassidout.org/sj/beth-habad/france-banlieues/creteil/32384-creteil-journees-de-verification-de-tefilines-et-mezouzot-et-apres-midi-recreatif-pour-les-enfants

Cours du Rav Ron Chaya

mardi 28 août 2012, 18:35

Se préparer pour le grand jugement

Chabath Chalom

NEWS: ISRAELVALLEY - QUITTER LA FRANCE ? JEAN-EMILE ROSENBLUM, FONDATEUR DE PIXMANIA DEPLORE "LE CLIMAT HOSTILE AUX CREATEURS". ET SI ISRAËL DEVENAIT UNE ALTERNATIVE POUR CEUX QUI CHERCHENT AILLEURS ?

mardi 28 août 2012, 18:07

Le nombre de missions d'hommes d'affaires Français en Israël est en croissance réelle. Ce “tourisme hightech” prend réellement forme entre la France et Israël depuis maintenant deux ans.

Ce n'est donc pas du tout par hasard si la Chambre de Commerce Israël-France de Tel-Aviv va lancer en Octobre avec Select Israël et un ensemble de partenaires publics et privés des programmes de formation “Executives” sur-mesure pour les hommes d'affaires qui le souhaitent.

De plus en plus souvent des créateurs de startups Français qui ont réussi, atterrissent un jour en Israël “pour voir”. Cette tendance lourde est de plus en plus visible et des fortunes Françaises investissent en toute discrétion dans la “Valley”. Après de longues hésitations des Français achètent des startups et finissent par croire au “miracle de Tel-Aviv”. Xavier Niel fait partie de ceux-là.

Un candidat qui pourrait bien avoir le profil pour investir en Israël est le fondateur de Pixmania. Selon (1) : "Le fondateur de Pixmania a menacé récemment de quitter la France en raison du “climat hostile à l'entreprise et à la richesse”. Il n'est pas le premier à le faire, mais tous n'ont pas mis leur menace à exécution. “Si cela reste ainsi, personne ne restera”, a menacé mercredi Jean-Émile Rosenblum, à propos de la situation des entrepreneurs en France sur BFM Business.

En plein contexte de rentrée politique et alors que le gouvernement Ayrault s'interroge encore sur les modalités de la mise en place de la fameuse taxe à 75%, le fondateur de Pixmania, qu'il a revendu au Britannique Dixons, met les pieds dans le plat. Alors que deux ans plus tôt il affirmait que la France était un “paradis fiscal pour les investisseurs”, il prétend aujourd'hui que le climat pour les entrepreneurs, plus que la fiscalité, les pousse à vouloir quitter le pays.

Mais il n'est pas le premier entrepreneur High-tech à se plaindre de la situation des entrepreneurs en France. Et c'est bien la fiscalité qui est au cœur des critiques. Très volubile sur le sujet, Marc Simoncini, le fondateur du site de rencontres Meetic avait affirmé que si les promesses de campagne de François Hollande étaient appliquées, il ferait “le même métier, mais de Belgique”. Après avoir vendu Meetic, son fondateur a créé le fonds Jaïna Capital, qui a investi dans plusieurs start-up. Aujourd'hui, celles-ci ne lui rapportent rien selon lui. Le 20 juillet dernier, Marc Simoncini s'était même agacé sur son compte Twitter."

Source: (1) http://www.latribune.fr/technos-medias/20120822trib000715639/fiscalite-ces-entrepreneurs-qui-menacent-de-quitter-la-france.html

BETH HAMIKDACH

jeudi 26 juillet 2012, 15:31

Magnifique ! Le Beth Hamikdach en 3D

Que s'est il passé à Tichaa be av

mardi 24 juillet 2012, 14:13

Le 9 Av (Tichea beAv) est le jour le plus triste du calendrier juif. Cinq catastrophes nationales s'abattirent dans le passé sur notre peuple

En ce jour, la deuxième année après leur départ d'Égypte, les Enfants d'Israël se rebellèrent quand les Dix Explorateurs firent un rapport défavorable sur la Terre Promise. C'est dans la nuit de Tichea beAv qu'ils poussèrent leur terrible cri de révolte, refusant de poursuivre leur marche vers leur future patrie. Alors D.ieu décida que la vieille génération (de vingt ans d'âge et au-dessus) mourrait dans le désert au cours de quarante années d'errance (une année pour chacun des jours qui furent nécessaires aux Explorateurs pour accomplir leur mission). Seuls leurs enfants vivraient pour entrer en Terre Promise et en jouir.

Le Neuf Av, en l'an 3338, le premier Beth Hamikdache fut détruit par les armées de Néboukhadnétzar (Nabuchodonosor), roi de Babylonie.Le même jour, en l'an 3828, le second Beth Hamikdache fut détruit par les légions romaines de Titus.

Quand, cinquante ans après, Bar Cokhba prit la tête de la révolte contre les Romains, dans une tentative de libérer le pays, c'est à Tichea beAv (en 3880) que la grande forteresse de Béthar tomba et fut détruite par les Romains, avec pour corollaire l'écrasement implacable de la rébellion.

C'est en ce jour fatidique de Tichea beAv que fut labouré le sol où s'élevait Jérusalem, et, sur la montagne, le lieu où se dressait le Beth Hamikdache.

En ce jour survinrent d'autres grands malheurs pour notre peuple, tels que l'expulsion des Juifs d'Espagne en 1492, ou l'expulsion des Juifs d'Angleterre en 1290. D'après les historiens, la Seconde Guerre mondiale et la Shoah furent les conséquences de la Première Guerre mondiale. Celle-ci avait débuté le 9 Av.

fr.chabad.org

250.000 personnes ont participé aux funérailles du Rav Yossef Shalom ElyashivZL

jeudi 19 juillet 2012, 16:17

Rav Yossef Shalom Elyashiv est décédé cet après-midi, à 102 ans, il a été enterré à Jérusalem ce soir.Le transport funéraire a débuté à 22:00 au quartier de la rue Mea Shearim. Le kever du Rav est passé par les rues Cheveth Israel, Chmouel Hanavi, l'université Bar-Ilan, yirmiahou ,Weitzman, puis l'autoroute 1, jusqu'au cimetière de Givat Shaoul.

Les véhicules ont été dirigés vers l'entrée de Jérusalem . Les foules criaient «Écoute Israël» »Shéma Israel »!

Ce sont des centaines de milliers de participants ont été présents à cet enterrement du Rabbi Yosef Shalom Elyashiv, le leader du mouvement ultra-orthodoxe lituanien. Environ 250.000 personnes participent aux funérailles du rabbin Yosef Shalom Elyashiv, ce soir (mercredi) à Jérusalem.

Union de sauvetage a fourni des soins à 37 personnes ont été légèrement blessés à la suite de l'écrasement et y ont été soignés.

Lors du suivi du convoi, 22 personnes ont été traitées par le MDA :  » jusqu'à présent, 22 personnes ont été blessées avec des coupures et des blessures dans le quartier de Mea Shearim de Jérusalem. Les foules affluent de partout et beaucoup lisent des Tehillim.(psaumes)

Des milliers de personnes sont arrivées à la maison du rabbin Elyashiv de Jérusalem. Channel 7 a signalé que seulement trois rabbins feront l'éloge du Tsadik au cimetière de Givat Shaoul.

Le Premier ministre Benjamin Netanyahou a exprimé sa tristesse profonde concernant le décès du Rav Yossef Shalom Elyashiv : « La disparition du Rav Elyashiv est une grande tristesse pour  le monde ultra-orthodoxe et toute la nation  d'Israël. Le Rav représentait l'amour de la Torah et l'amour pour l'humanité, la modestie et la préservation du caractère sacré de la vie. Israël a perdu aujourd'hui un grand homme , et une sage qui a représenté fidèlement les valeurs de la Torah, la connaissance, la bonté lors de sa vie sur cette terre .  »
Le président de la Knesset Reuven Rivlin a déclaré: « C'est une journée difficile pour le peuple juif. Nous avons perdu toute une génération et aujourd'hui un chef de file du public Haredi, il est la fondateur  de la Torah après l'Holocauste de l'Europe et Maitre de dizaines de milliers d'étudiants.  »

Priez pour nous Maitre. Votre mérite est grand, et nous avons besoin de la protection divine, car nos ennemis sont nombreux.
©Alyaexpress-News /  http://alyaexpress-news.com/

Tsahal multiplie les offensives médiatiques sur la toile

mercredi 18 juillet 2012, 16:41

L'armée israélienne multiplie les offensives médiatiques sur Facebook.

Dans une tentative affichée de "contrer les campagnes de désinformation contre Tsahal et les fausses rumeurs véhiculées sur les réseaux sociaux", l'armée israélienne se fait de plus en plus entendre sur Facebook. Les "buzzs" se multiplient.

Il y avait d'abord eu en juin la photo de deux soldats se tenant main dans la main et présentés comme un couple homosexuel. La photo était accompagnée de la mention : " Saviez-vous que Tsahal traite tous ses soldats de manière égale ? ". Le cliché fut repris par tous les journaux israéliens, toutes les télévisions ainsi que par plusieurs titres internationaux (The Guardian, The Huffingon Post...).

Quelques jours plus tard, lorsque l'Etat d'Israël fut frappé par 160 missiles en une semaine, l'unité du porte-parole de Tsahal prit dès les premiers jours l'initiative en postant une photo repostée des centaines de fois par les internautes français et des dizaines de milliers de fois par les anglophones.Au cours des derniers jours, les messages sont devenus plus explicites et appellent directement les internautes à partager les informations publiées par l'armée israélienne.

Il est encore trop tôt pour savoir quelle sera l'efficacité de ces photos sur le long terme. Quoi qu'il en soit, il s'agit d'un tournant dans la politique de communication de l'armée israélienne, plutôt caractérisée jusqu'à présent par une carence criante dans ce domaine.

source gusen

NEWS: ISRAELVALLEY – MORFLORA, START-UP ISRAELIENNE, SEME LES GRAINES D'UNE REVOLUTION POUR L'AGRICULTURE MONDIALE. DES PLANTES NON-TRANSGÉNIQUES MAIS GÉNÉTIQUEMENT PLUS RÉSISTANTES.

mercredi 11 juillet 2012, 17:44

Morflora, startup israélienne florissante créée dans le moshav Sharsheret (région du Néguev), détient les ingrédients pour révolutionner l'agriculture mondiale… Cette startup a mis au point une technologie innovante qui permet d'immuniser les plantes pour les rendre génétiquement résistantes à toute maladie, via des solutions non-transgéniques. Le gouvernement américain a trouvé cette technologie si prometteuse qu'il a décidé de contribuer au financement de tests sur le terrain.

Morflora, spécialisée dans le développement des « traits fonctionnels » de plantes (traits physiologiques et morphologiques des plantes qui affectent le comportement écologique ou évolutif d'une espèce), a mis au point une plate-forme révolutionnaire, rapide et non-transgénique appelée « TraitUP », qui permet de modifier les caractéristiques des plantes afin de renforcer leur immunité au sein de leur milieu naturel. Cette plate-forme est capable d'introduire des traits fonctionnels dans les graines et permet ainsi leur intégration immédiate dans la plante. A noter, il ne s'agit pas d'Organismes Génétiquement Modifiés (OGM), qui font actuellement l'objet de débats éthiques, ni d'organismes transgéniques, car les composants et les gènes étrangers délivrés par cette plate-forme ne sont pas insérés dans le génome de la plante et ne sont pas héréditaires.

Jusqu'à présent, l'introduction de gènes dans une plante donnée était faite par les éleveurs eux-mêmes, selon des méthodes classiques. Il fallait donc attendre 3 à 7 ans avant d'aboutir au résultat espéré. La technologie avant-gardiste « TraitUP », qui garantit un résultat satisfaisant en quelques jours seulement, permettra aux entreprises semencières, aux agriculteurs et aux éleveurs d'apporter une solution efficace et rapide en cas de menaces des cultures, et, à un stade ultérieur, d'introduire des traits fonctionnels améliorés dans les graines. Cette plate-forme offre ainsi pour la première fois une alternative innovante dans l'amélioration de la protection des plantes et des récoltes, une formule facilement applicable à toutes les espèces de plantes et effective en quelques jours.

La technologie « TraitUP » est également capable de délivrer n'importe quel gène dans n'importe quelle plante afin de limiter la dépendance des végétaux aux traitements chimiques et d'obtenir des récoltes plus saines et un rendement accru des cultures.

Afin de l'introduire sur les marchés internationaux, la compagnie doit encore achever avec succès les pré-tests de cette nouvelle technologie, prouver son succès, franchir les obstacles relatifs à la réglementation des gouvernements étrangers et par-dessus tout, réussir le développement d'un nouveau modèle économique agricole en prouvant sa viabilité et l'avantage financier qu'il pourrait apporter.

D'autre part, la plate-forme « TraitUP » serait peut-être la solution ou un début d'espoir pour mettre fin aux crises alimentaires mondiales. Dans tous les cas, il ne fait aucun doute qu'elle est susceptible de révolutionner l'agriculture moderne et d' impacter significativement les marchés internationaux de légumes et de matières premières agricoles.

Laureen Favier (Tel-Aviv) ISRAEL VALLEY

Les 3 semaines Cours

17 Tamouz

vendredi 6 juillet 2012, 15:41

Le 17 Tamouz – qui tombe cette année Chabbat prochain – fut le théâtre de plusieurs événements tragiques de notre histoire, à commencer par le bris des Tables de la Loi face au Veau d'or, qui culminèrent avec la brèche percée dans la muraille de Jérusalem qui permit aux armées babyloniennes de s'y engouffrer et de conquérir, puis de détruire la ville lumière et le saint Temple. Ces événements marquèrent dans les consciences juives le mois de Tamouz d'un sceau dramatique, celui du « mois dans lequel débutent les Trois Semaines » de deuil pour la destruction de Jérusalem.

Cet état de fait dura plus de trois millénaires. Toutefois, il y a 85 ans, en 1927, les choses changèrent radicalement. Rabbi Yossef Its'hak Schneerson, le précédent Rabbi de Loubavitch de mémoire bénie, fut arrêté par les bolcheviks qui s'étaient lancés dans une guerre à mort contre le Judaïsme et les Juifs qui y étaient attachés. Les choses prirent cependant une tournure inattendue, et clairement miraculeuse, lorsque les mêmes autorités qui l'avaient arrêté et condamné à la peine capitale pour le « crime » d'avoir dirigé un réseau clandestin de rabbins et d'enseignants, furent contraintes de commuer sa peine en exil, puis de le gracier totalement et de lui permettre de quitter l'URSS pour rejoindre des territoires d'où il pourrait diriger son combat avec plus de liberté.

Cette victoire, cette délivrance, déclara le Rabbi précédent, ne fut pas celle d'un individu, d'un mouvement ou d'une communauté, mais de l'ensemble du peuple juif, y compris même de « ceux qui n'ont de Juif que le nom » pour le moment. À l'instar de la libération du premier Rabbi de 'Habad le 19 Kislev 1799, celle-ci marqua le début d'un essor phénoménal du renforcement du Judaïsme et de la diffusion des sources du 'Hassidisme dans le monde entier, essor qui a abouti à l'extraordinaire vitalité du Judaïsme que nous connaissons aujourd'hui. Le mois de Tamouz est désormais devenu « le mois de la libération ».

Dès lors, les jours du 12 et du 13 Tamouz dans lesquels nous commémorons et célébrons cette libération (cette année ce lundi 2/7 et mardi 3/7), permettent d'aborder le jour du 17 Tamouz comme ce qu'il est intrinsèquement : un jour d'intense proximité
avec D.ieu, qui est amené à devenir un jour de fête à l'ère messianique. Cette année, comme le 17 Tamouz tombe un Chabbat, le jeûne et l'affliction qui l'accompagne sont reportés au lendemain, mais la proximité de D.ieu et la perspective messianique, elles, demeurent ce Chabbat dans toute leur puissance, permettant de qualifier ce jour de « Tov » Tamouz. Puissions-nous mériter que, de « reporté », le jeûne soit totalement et définitivement « repoussé », grâce à la venue du Machia'h.

MCDONALDS A LICENCIE 773 JEUNES JUIFS ISRAELIENS DE MOINS DE 18 ANS QUI TRAVAILLAIENT AUPARAVANT LE JOUR DU SHABBAT.MCDONALDS A LICENCIE 773 JEUNES JUIFS ISRAELIENS DE MOINS DE 18 ANS QUI TRAVAILLAIENT AUPARAVANT LE JOUR DU SHABBAT.

jeudi 5 juillet 2012, 12:50

Drôle de pays ! Rarement une loi aura autant favorisé les non-juifs en Israël. La loi israélienne oblige les employeurs à ne pas employer de juifs de moins de 18 ans le jour de Shabbat. S'ils le font, une méga-amende est prévue. C'est ainsi que les ados qui ont un nom juif sont interdits de travailler dans les restaurants McDo du pays. Des inspecteurs vont vérifier durant le shabbat si les employés sont des juifs (vont-ils aller jusqu'à vérifier si les ados sont circoncis ?) ! Le big boss israélien de la firme américaine va demander aux juges de revoir cette loi qui lui semble discriminatoire.

ISRAELVALLEY PLUS DANS NOS ARCHIVES.
Un article récent est paru au Maroc et qui analyse la manière dont les clients musulmans sont traités durant le Ramadan. En Israël Israelvalley a vérifié : dans les villes arabes d'Israël les McDonald's sont très rarement visités par les clients musulmans. Aucune “brigade des moeurs” n'a été mise en place dans le pays. A Tel-Aviv aucun employé de Mc Donald's n'a refusé de servir un arabe muslman.

Bon à savoir : musulmans, chrétiens où juifs sont tous à la diète en Israël. Selon nos recherches, la chaîne de Fast Food McDonald's poursuit ses efforts en Israël pour changer son image de « malbouffe ». Pour cela, elle envisage de réduire le pourcentage de graisse dans sa viande de 17,5% à 9%. La chaîne envisage également de proposer de nouveaux pains de blé complets produit par la boulangerie Angel. Le principal concurrent de la McDonald en Israël, Burger Ranch, a déjà abaissé le pourcentage de matières grasses dans certains de ses produits en dessous de 5%.

Le nombre de calories dans le burger McRoyal est descendu à 495. Selon Mc Donald, il ne resterait plus que 2% de graisses saturées ce qui ferait un total de matières grasses de 5,5%. Un McRoyal avec un petit pain de blé complet réduirait même ces chiffres à 399 calories, 1,8% de graisses saturées et un total de 4,5% de matières grasses.

ISRAELVALLEY

JEWCAL

jeudi 5 juillet 2012, 12:41


Pour les possesseurs de téléphone sous ANDROID, il existe une application de calendrier juif gratuite et qui fonctionne très bien : "JEWCAL". Elle est disponible sur le Playstore/Android Market. Elle donne les horaires de chabath (géolocalisé),  les dates des fêtes, les heures limites des prières de chaque jour avec des explications, ...

Elle est très bien, normal c'est mon fils qui l'a développée :-)
Seule contrepartie, cliquer sur le bandeau de pub qui apparait dans l'application pour financer de nouveaux développements !
MARC FELLOUS

Lecha Dodi

mardi 3 juillet 2012, 14:09

à écouter sans modération

Chalom Aleichem

lundi 2 juillet 2012, 15:24

Superbe version de chalom aleichem...

News: ISRAELVALLEY - Un médicament anti-douleur mis au point par l'université de Tel-Aviv pourrait représenter un espoir pour des millions de personnes

lundi 2 juillet 2012, 14:56

BioLineRx, une société de développement biopharmaceutique basée à Jérusalem, a signé un accord de licence exclusif avec Ramot Tel Aviv University Ltd., la société de transfert de technologies de l'université de Tel Aviv, pour le développement et la commercialisation du BL-7050, un nouveau traitement par voie orale contre les douleurs neuropathiques et inflammatoires. Les termes financiers de l'accord n'ont pas été divulgués.

La nouvelle molécule agit en inhibant l'activité des neurones transmettant la douleur en utilisant un nouveau mécanisme d'action. Des essais pré-cliniques in-vitro et sur des modèles animaux de douleur neuropathique et inflammatoire ont montré l'efficacité de la molécule à réduire l'activité neuronale et la douleur. En outre, la molécule dispose d'un meilleur profil d'innocuité.

Le BL-7050 est basé sur une technologie qui a été développée dans le laboratoire du Professeur Bernard Attali du département de physiologie et de pharmacologie de la faculté de médecine Sackler à l'université de Tel Aviv. “On a plus que jamais besoin de médicaments antidouleurs sûrs, efficaces et présentant peu d'effets secondaires,” a déclaré le Professeur Marshall Devor, un expert de renommée mondiale dans le domaine de la douleur, du département de biologie cellulaire et développementale à l'université hébraïque de Jérusalem. “Les essais pré-cliniques indiquent que BL-7050 possède des propriétés favorables du point de vue de la biodisponibilité, de la sécurité et de l'efficacité.”

“Les douleurs chroniques neuropathiques ou inflammatoires sont une des principales causes d'invalidité et l'une des raisons les plus fréquentes pour lesquelles les patients consultent leur médecin de famille,” a déclaré le Dr Kinneret Savitsky, PDG de BioLineRx.“Le marché des antidouleurs neuropathiques, qui a atteint 2,4 milliards de dollars en 2009 dans les sept principaux marchés (Etats-Unis, Japon, Royaume-Uni, France, Allemagne, Italie, Espagne), est saturé de médicaments qui n'offrent pas une solution adéquate, en raison soit d'une efficacité limitée soit d'effets secondaires inacceptables, et il y a un besoin évident de nouveaux traitements plus efficaces.”

Le BL-7050 est une nouvelle entité chimique basée sur la structure moléculaire du diclofénac (Voltaren), un anti-inflammatoire non stéroïdien bien connu, largement utilisé dans le traitement des douleurs nociceptives et inflammatoires. Cependant, le BL-7050 agit grâce à un mécanisme d'action novateur, à savoir l'ouverture de canaux potassiques spécifiques dans les cellules nerveuses. L'ouverture de ces canaux réduit l'activité des cellules nerveuses, réduisant ou bloquant ainsi les signaux de douleur.

Guillaume Sicard.
Volontaire International Chercheur au Technion.

Source: http://www.bulletins-electroniques.com/actualites/70018.htm 

La matsa de foi, la matsa du rabbi

29 juin 2012
Ce dimanche 11 Nissan 5763, 13 avril 2003 marque le 101ème anniversaire de la naissance du Rabbi de Loubavitch.
Rav Cunin raconte :
Alors que le soleil se couchait, le métro dans lequel je me trouvais s'arrêta en plein centre du Bronx et je n'avais plus qu'à marcher. Tout en me dirigeant vers Pelham Parkway, je demandais aux passants mon chemin. Quelqu'un eut pitié de moi: “Cher ami, vous en êtes encore loin !”.

Plus tôt cet après-midi, veille de Pessa'h, un groupe d'étudiants de la Yechiva Loubavitch de Brooklyn avait terminé de cuire les dernières Matsot Chmourot pour la fête. On était en 1958 et le Rabbi distribuait personnellement ces Matsot cuites à la main comme cadeau spirituel. Il se tenait debout durant des heures, saluant chacun tout en lui tendant une Matsa. D'abord il en offrait à ceux qui habitaient loin car ils ne pouvaient prendre ni voiture ni métro une fois que la fête aurait commencé. J'avais seize ans et j'habitais entre la 167ème Rue et Jerome Avenue dans le Bronx, donc relativement loin. Quand je m'approchai du Rabbi, il me demanda si je pouvais apporter une Matsa à une certaine famille.

L'idéal aurait été que je prenne un taxi en sortant du métro, que le chauffeur m'attende quelques minutes pendant que j'apportais ces Matsot et qu'il m'amène à la maison à l'heure pour le Séder. Mais la vie est rarement conforme à l'idéal. Bref, je trouvais l'adresse: c'était un quartier défavorisé. Je toquai à la porte et un homme m'ouvrit: il était tatoué, ne portait pas de chemise et semblait décontracté.

“C'est à quel sujet ?” demanda-t-il.
“Excusez-moi: êtes-vous bien M. Untel ?”
“Ouais !” me répondit-il avec l'accent du Bronx.
Je remarquai le pain de campagne posé sur la table, ce qui n'est vraiment pas l'aliment conseillé pour le Séder de Pessa'h.
“C'est le Rabbi qui m'a envoyé”, dis-je.
“Le Rabbi ? Oh, je vous en prie ! Entrez !”


Dans la petite cuisine, il n'y avait qu'une table minuscule, quelques chaises et un réchaud. Je ne comprenais pas ce que je faisais ici, à distribuer de la Matsa à une famille qui, visiblement, ne s'apprêtait pas à célébrer le Séder. Puis je me dis que c'était justement ce pourquoi le Rabbi m'avait envoyé ici.
Je demandais à l'homme s'il voulait qu'on passe le Séder ensemble. Il accepta et appela sa femme. Elle était visiblement enceinte; ses deux filles la suivaient: très mignonnes, elles avaient peut-être cinq et six ans. Toutes deux étaient aveugles.

Nous avons débarrassé la table. Je mis un chapeau sur la tête de mon hôte et commençai le Séder. J'essayais de me souvenir de l'ordre des bénédictions, mais c'était difficile car je n'avais pas de Haggada, le livre traditionnel. L'essentiel, c'est que nous avons mangé la Matsa. En guise de vin, nous avons bu quatre coupes d'eau dans des verres en papier. J'essayai de penser à ce qu'aurait fait le Rabbi s'il s'était trouvé dans ma situation. Je regardai les fillettes et leur maman qui allait mettre au monde un autre enfant, et je répétai certains enseignements que j'avais entendus du Rabbi : en cette nuit, D.ieu avait libéré nos ancêtres de l'esclavage d'Egypte et Il nous libère nous aussi. L'homme et la femme m'écoutaient attentivement, comme s'ils étaient instantanément nourris par mes paroles.

Je leur dis qu'à Pessa'h, nous nous libérons de notre Egypte personnelle, de nos limites car D.ieu ne pose pas sur nos épaules plus que ce que nous pouvons supporter. Une fois que vous savez cela et que vous y croyez, vous êtes déjà libéré. Nous avons chanté avec les enfants.
A une heure du matin, la femme mit les fillettes au lit et il était temps pour moi de partir. Mais je demandais encore à l'homme d'où il connaissait le Rabbi. Le fait est qu'il était tanneur et avait connu un rabbin à l'abattoir où il travaillait. Comme depuis quelques mois sa femme était enceinte, il avait demandé au rabbin comment agir: ils étaient porteurs de gènes qui avaient fait que leurs deux premiers enfants étaient nés aveugles et le médecin suggérait de ne pas mettre au monde ce 3ème enfant. L'homme était très triste et ne savait que faire. Le rabbin lui avait conseillé d'écrire au Rabbi de Loubavitch.

Le Rabbi lui avait répondu par lettre qu'ils devaient avoir confiance en D.ieu et laisser l'enfant naître normalement.
Alors que je m'apprêtais à partir, l'homme me dit : “Vous savez, ma femme et moi-même n'étions pas très convaincus. Comment peut-on avoir confiance en D.ieu ? Comment pouvons-nous oublier ce qui nous est arrivé et espérer ? Nous ne pensions pas que c'était possible mais ce soir, en vous entendant parler de foi en D.ieu et comment D.ieu donne la force de surmonter les épreuves pour sortir de notre Egypte personnelle, nous comprenons mieux”.
Leur fils naquit: il voyait parfaitement. Par la suite, je perdis le contact avec cette famille. Mais des années plus tard, j'appris que les filles s'étaient mariées et avaient chacune plusieurs enfants qui voyaient parfaitement.

Décrire combien le Rabbi aimait des centaines de milliers de Juifs et de non-Juifs dans le monde entier serait impossible. Le mieux que je pouvais faire était de décrire cette pauvre famille du Bronx. Et comment le Rabbi leur avait fait livrer à la maison la confiance en D.ieu personnifiée par ces Matsot.

En 1966, le Rabbi de Loubavitch nomma Rav Cunin émissaire principal pour la Californie où fleurissent maintenant des centaines d'institutions Loubavitch.

Source: contes juifs FB

meydad tasa yevarechecha

Histoire d'une mort clinique

Havdala Rav nissim toledano z"l"

Sympa !

jeudi 18 octobre 2012, 17:01

Alors on danse avec des paroles de torah !

Neila

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